MISSION TECHNIQUE D’APPUI DE LA BANQUE MONDIALE AU PROJET D’INRASTRUCTURES ET DE DEVELOPPEMENT URBAIN (PIDU) A KARA DANS LA COMMUNE KOZAH 1
Une mission technique de la Banque mondiale s’est rendue du 12 au 14 avril 2023 à Kara dans le but d’apprécier sur le terrain, le niveau d’exécution des travaux d’infrastructures réalisées par le Projet d’Infrastructures et de Développement Urbain (PIDU) dans la Commune de Kozah 1.
Il s’agit notamment des travaux prioritaires de Kara et ceux de construction du pont sur la rivière Kpèlèou et la voie reliant celle bitumée au niveau de l’abattoir à la route nationale (RN) n° 19 au niveau du Centre Don Bosco dans la ville de Kara soit 1,500km
Selon la Banque mondiale, à travers le Spécialiste Principal en Gestion des Risques, chargé du PIDU et chef de délégation de la mission technique de la Banque mondiale, « les activités préparatoires sur le terrain avancent très bien » en ce qui concerne les travaux du pont de Kpèlèouwayi. Pour les travaux prioritaires résiliés en mai 2022, dont certaines parties méritent des améliorations de même que les travaux connexes, il a affirmé « qu’il y a des choses beaucoup plus positives qu’on ne le pensait ». ’ L’impression générale de la Banque mondiale « c’est une mission très réussie » selon le Chef de projet. Il s’est dit « vraiment satisfait de ce qu’il a vu ». Cette appréciation positive est partagée par l’expert de la Banque mondiale, Ingénieur génie civil, membre de la mission qui a déclaré aussi « qu’après cette visite, il n’y a pas sur le plan technique des obstacles insurmontables pour que les travaux puissent s’achever, s’agissant des travaux prioritaires et dans d’excellentes conditions, pour les travaux du pont ».
La délégation du Gouvernement Togolais a été conduite par le Directeur général des infrastructures et des équipements urbains du Ministère de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Réforme Foncière. Cette visite technique a aussi mobilisé les services techniques de la commune bénéficiaire, Kozah1, des entreprises, des bureaux de contrôle et des communautés bénéficiaires.
Les échanges autour des deux projets se sont poursuivis avec les comités locaux de gestion des plaintes.
Autour des plaintes, il s’est agi de partage d’expériences et de l’énumération de quelques blocages qui minent le bon fonctionnent de ces comités.
La délégation de Lomé s’est dite satisfaite de la forte implication des acteurs locaux dans la résolution des plaintes liées aux travaux. Elle a promis trouver sans délai des solutions aux blocages pour rendre les comités encore plus performants